4 portraits de femmes qui réussissent dans l’industrie

Elles sont tourneuse, apprentie préparatrice, animatrice de démarche lean ou apprentie en maintenance industrielle. Professionnelles averties ou en cours de formation, elles sont lauréates du Prix de la vocation féminine de l’UIMM Gironde-Landes qui récompense les plus belles trajectoires et implications professionnelles des femmes de l’industrie. Découvrez leur témoignage !

Alice, tourneur chez Abaque Industrie à Blanquefort (Gironde)

J’ai eu un coup de cœur immédiat en découvrant l’usinage d’aluminium

Alice a découvert le métier d’usineur en visitant un lycée professionnel : « J’ai eu un coup de cœur immédiat en découvrant l’usinage d’aluminium ». Elle choisit de se former à ce métier via un BEP productique suivi d’un Bac pro productique mécanique option usinage.

Chez Abaque Industrie, Alice a plusieurs missions: régler la commande numérique, réaliser l’usinage, le contrôle et l’ajustage. Depuis peu, elle est aussi l’un des deux pilotes de l’atelier : elle organise le planning des ressources et des commandes.

 

Elisa, préparatrice apprentie chez Dassault Aviation à Martignas (Gironde)

L’alternance répond mieux aux besoins et aux attentes des entreprises

C’est en classe de 3e qu’Elisa a découvert l’aéronautique en passant son brevet d’initiation. Après un Bac S, elle s’oriente vers un BTS aéronautique : « Je souhaitais faire mon BTS en alternance, car c’est plus dynamique que des cours classiques et que ça répond mieux aux besoins et aux attentes des entreprises ».

Gaëlle, animatrice démarche lean chez Magna-Getrag-Ford Transmissions à Blanquefort (Gironde)

C’est par hasard que Gaëlle découvre l’industrie. Passionnée par ce secteur, elle décide de reprendre ses études. Aujourd’hui, elle se forme en tant que responsable logistique chez Magna-Getrag-Ford Transmissions. Sa mission consiste à standardiser les flux internes à l’entreprise en proposant des améliorations de processus.

Julie, apprentie au service maintenance chez l'Electrolyse à Latresne (Gironde)

Julie a choisi l’alternance car elle voulait se former « au réel » dans l’industrie : « Ca me permet d’avoir une partie pratique et une partie théorique ». Chez l’Electrolyse, Julie intervient à plusieurs niveaux : maintenance préventive mais aussi maintenance corrective comme réparer des capteurs. Son projet professionnel ? Exercer son métier dans le domaine militaire.

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